- Article publié le 15 février 2013
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Pour une reconnaissance de la fonction d’animateur et de son utilité sociale
À l’aune des annonces relatives à la modification des rythmes scolaires,
notre collectif revendique :
– Un accès massif des professionnels de l’animation aux formations diplômantes tant pour les futurs contrats aidés (contrats d’avenirs), les CDD, les CDI que pour les agents titulaires en cours d’emploi.
– Une reconnaissance du métier d’animateur et de son utilité sociale.
– Une catégorie A dans la filière animation avec une vraie reconnaissance
de la qualification et pour un déroulement de carrière dans la fonction
publique.
– L’accès ouvert à tous les professionnels de l’animation avec des mesures transitoires d’intégration.
Certes, il existe des diplômes non professionnels qui sont en réalité des
brevets d’aptitude tels que le BAFA et le BAFD permettant à des étudiants
d’avoir un job d’été, ou pendant les vacances et les mercredis. Pour faire
de l’animation son métier, nous rappelons à nouveau qu’il existe des
diplômes professionnels allant du niveau 5 au niveau 1 dispensés par
les fédérations de l’éducation populaire et le cursus universitaire. À ce
titre, nous souhaitons également que le CNFPT puisse jouer un rôle important quant à la validation des unités de formation visant à valider ces diplômes dont voici (dans le dossier joint extrait du Guide n°817 de janvier 2013) la liste et leur correspondance en matière de niveaux de qualification, de compétences et de cadre d’emploi dans la fonction publique territoriale.
Documents joints
1 Pour une reconnaissance de la fonction d’animateur et de son utilité sociale pdf