Actuellement, nous connaissons une pénurie de médecins sans précédent, entrainant des déserts médicaux et des délais de rendez-vous de plus en plus longs.

7 millions de personnes, dont 700 000 en affection de longue durée (ALD), n’ont pas de médecins traitants.
1,6 million de personnes renoncent, chaque année, à des soins par manque de médecins.

8 500 étudiant·es en médecine sont formé·es par an, quand il en faudrait au minimum 15 000 pour remplacer les départs en retraite.

Les inégalités sociales de santé sont désormais avérées. Elles sont les conséquences d’inégalités multiples : sociales, environnementales, qui touchent au logement, à l’emploi, aux conditions de travail, à la vie sociale, culturelle et au niveau d’instruction.

Aujourd’hui, se soigner coûte de plus en plus cher. Par conséquent, les renoncements aux soins sont toujours plus nombreux.

Agissons, auprès de tous les acteur·rices : parlementaires, ARS, comité de défense, pour gagner une politique de santé publique de proximité.

Tract de l’Union confédérale des retraités en téléchargement

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