Pour l’arrêt du travail en “mode dégradé” imposé par l’administration et inacceptable pour les agents car contraire aux valeurs du service public. Le contexte budgétaire ne peut être un prétexte à la maltraitance institutionnelle actuelle :
Les nombreuses suppressions de postes génèrent une charge de travail accrue pour l’ensemble des agents et un climat délétère (le département souhaite supprimer 150 postes pour 2026).

La nouvelle indemnisation des heures supplémentaires des agents des routes avec la réorganisation des horaires de travail sans concertation. Le choix et l’utilisation de matériels non adaptés au travail à réaliser en sécurité.

Les prochains départs à la retraite dans les collèges susceptibles de ne pas être remplacés imposent des réorganisations impactant la charge de travail des agents.

Dans le social, domaine déjà très touché par la crise du recrutement, la précarisation des contrats génère un climat anxiogène. D’autant que les agents de ce secteur n’ont plus aucun soutien technique ni d’espace de pensée.
Tous les postes de psychologues contractuels seront supprimés à échéance.

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Pour la reprise d’un dialogue réel et constructif avec la prise en compte des attentes des agents en matière d’organisation et de conditions de travail.

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la reconnaissance de la pénibilité réelle des tâches physiques et mentales.

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Le jeudi 4 décembre 2025 à 10h00
devant l’hôtel du département

– Tract en téléchargement

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