En effet, tout agent des lycées bénéficiant d’un temps partiel thérapeutique n’aura plus à rattraper des heures non effectuées au cours de ses arrêts maladie antérieurs au moment de sa reprise du travail.

La CGT se félicite de cette décision annoncée par le Président en ouverture du CST (Comité Social Territorial) du 3 octobre dernier.

Le Président a également annoncé que la collectivité n’accéderait pas à la demande de la CGT et de certaines autres organisations syndicales de rémunérer complètement le temps partiel thérapeutique. Il estime que cela n’est pas possible pour des raisons budgétaires et déclare que la première décision, celle de ne pas récupérer les heures non effectuées pour cause de maladie dans le cadre d’un temps partiel thérapeutique, va déjà coûter cher.

Pour les agents des sites administratifs, cela peut paraître étrange voire inouï de penser que des personnes revenant d’arrêts maladie et à qui il a été prescrit un temps partiel thérapeutique pour des raisons de santé graves puissent se voir rajouter des heures de travail au moment du retour au travail malgré leur fragilité parce que c’est le règlement.

La CGT a dénoncé cette maltraitance institutionnelle et n’a cessé de demander à notre employeur d’abandonner cette pratique maltraitante. La CGT encourage notre exécutif à persévérer dans la voie du bien-être au travail des agents de notre collectivité.

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